Face à l’insupportable, à la profondeur des souffrances infligées à des enfants, il devient parfois impossible de trouver les mots justes. L’inceste et les agressions sexuelles sur mineurs nous confrontent à des violences d’une intensité qui dépasse notre entendement, bouleversant à jamais les victimes et marquant profondément ceux qui en sont témoins. 🫂
Chaque témoignage est une épreuve.
Ces récits, empreints d’horreur et d’indicible, laissent une trace indélébile. Ils détruisent des vies, touchent des familles entières et plongent proches et témoins dans une douleur silencieuse. Une douleur nourrie par l’incompréhension et le sentiment d’impuissance.
🔸 Pour ceux qui n’ont pas vu, pas compris, ou pas osé parler, les questions sont lancinantes :
💬 Comment n’avons-nous rien remarqué ?💬 Pourquoi sommes-nous restés silencieux ?💬 Avions-nous vraiment le droit de ne pas intervenir, de ne pas dénoncer ?
Ces interrogations hantent les témoins, alourdissant leur fardeau. Un fardeau qui résulte de l’isolement imposé par la violence elle-même : une violence qui manipule, réduit au silence, et prive les victimes et les proches d’une possibilité d’agir. 🤐
Mais il faut parler. Il faut dire.
Nommer ces violences est essentiel, car seule la reconnaissance de l’horreur peut ouvrir la voie à un véritable combat contre elles. ⚔️
L’inceste et les violences sexuelles sur mineurs brisent des vies, fracturent des familles, et projettent une ombre sur toute la société. 🌑 En tant que témoins, nous avons une responsabilité : écouter, soutenir et relayer les récits des victimes, même lorsque les mots semblent nous manquer.
💬 Parler, c’est déjà agir.
Partager ces histoires, c’est ouvrir la porte à la reconstruction. C’est reprendre un espace que la violence a volé.
Affronter ces violences, c’est également affronter nos propres émotions, briser le cycle du silence, et faire un pas vers la prévention. En dénonçant ces actes, nous faisons bien plus que témoigner : nous participons à un effort collectif pour protéger, réparer et prévenir. 🙏
Ensemble, nous pouvons transformer le silence en action.
Parce que protéger l’enfance et soutenir les victimes est un devoir, et parce que dire, c’est déjà commencer à guérir.
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